Jump to navigation
Il y a du donjuanisme dans la bibliomanie, courant d'un jupon typographique à une autre camisole aux biceps à la Marlon Brando. Forcément, l'élue, l'élu, lue et relu, n'est que l'ombre du rendez-vous. À preuve, Staline, ou Bloy, voire Kipling...
La très haute marée des feuilles mortes littéraires de septembre précède le lent ballet automnal, rouge et or, scénographié par nos amis les arbres. Ce que voyant, Léon Bloy guillotine d'un C'était-mieux-avant. Alain Badiou n'est pas en reste: tout-est-dans-l'Un. Francis Carco, lui, n'a pas voix au chapitre, radié, qu'il est.
Il y a deux c amps. L'un pour la guerre, l'autre, pour la paix. D'un côté, le cercle des dirigeants, de l'autre, les gens d'en bas. Suivez le guide...
Un été Verlaine, ça se dit? Posez la question à Joyce. Il risque de renvoyer la balle à Hölderlin, lequel, c'est bien connu, préférait le piano. Alors, quoi? Un été pianoté? On n'ose pas penser ce que Spinoza en dirait. Verlaine, lui, s'est endormi. Chut!
La mois de juin est-il baudelairien? Poser la question à Byron et il rectifiera: 2024, c'est moi, toute l'année. Pas sûr que Félicien Rops sera d'accord. Verhaeren, lui, l'œil noyé des brumes de l'âme de son âme, se contentera de commander une tournée générale. Aux poètes! Ils ont toujours raison.
Pour la réduction collective du temps de travail à 15 heures par semaine, l'exemple vient d'en haut. Ou d'en bas - cela dépend du point d'observation. Celui de Ms Woolf n'est pas celui de Ms Despentes. Ni le vôtre, nôtre. Etc.
On veillera à ne pas confondre philanthropie avec fil à retordre, ni phylogénèse avec philophobie. Invitation à la promenade dans le règne de l'impossible peut-être faisable. (& autres empires antinomiques)
Du posthume de faible rigueur cadavérique, d'amours enneigés d'antan, de la belle Judith décapante, de l'ennui des feux vils de Mallarmé...
Il faudrait des noms plus savants à ces pathologies: la phobie de la liberté d'expression. La phobie du droit à l'information. La phobie de la libre confrontation des opinions. L'Union européenne, dans son antipathie pour la Russie, est devenue phobique. D'autant plus que: période électorale...
Où il sera question d'odeurs d'aiselles féminines, irrésistibles, de mots délicieusement abscons et de merles noirs. Noirs? Bigre!