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On veillera à ne pas confondre philanthropie avec fil à retordre, ni phylogénèse avec philophobie. Invitation à la promenade dans le règne de l'impossible peut-être faisable. (& autres empires antinomiques)
Du posthume de faible rigueur cadavérique, d'amours enneigés d'antan, de la belle Judith décapante, de l'ennui des feux vils de Mallarmé...
Il faudrait des noms plus savants à ces pathologies: la phobie de la liberté d'expression. La phobie du droit à l'information. La phobie de la libre confrontation des opinions. L'Union européenne, dans son antipathie pour la Russie, est devenue phobique. D'autant plus que: période électorale...
Où il sera question d'odeurs d'aiselles féminines, irrésistibles, de mots délicieusement abscons et de merles noirs. Noirs? Bigre!
Une bonne télé est une télé dont on a coupé le son. Variante: un bon petit écran est un écran mort. Non mais, dans quel monde on vit là? Spectral?
C'est loin, 1945? C'est encore visible, 1997? Et 2020? D'Aragon à Onfray, il s'est passé quelque chose? Le livre ne donne aucune réponse, en bon philosophe, il ne fait que poser des questions.
Ceci n'est pas un jeu bien compliqué: de la boîte à outils, sortir un mètre, puis vérifiez combien de centimètres il y a jusqu'au plafond. À partir du sol, s'entend. Si le résultat est de 240 centimètres, félicitations, vous êtes standard. Bienvenue dans la société sur-administrée
Le rapport entre Todd et Onfray? Ténu, voire inframince. Entre Aristophane et Kojève? Olfactif, à vue de nez. Entre Strindberg et Paoustovski? Culturel, ce culte-là.
Dans la galerie de nez, il en est un philosophe, l'autre historien, sans parler du nez du classicisme grec, mais il n'en est qu'un, celui de Madame Éluard, d'une beauté surnaturelle. Diderot n'en disconviendrait pas
Le lecteur, la lectrice, espèce humaine qu'une récente traduction d'Ulysse nommait celle des liserons (car en effet "c'est en lisant qu'on devient liseron", notait Sollers) a quelque parenté avec Casanova, multipliant les conquêtes dans le vain espoir de trouver l'extase ultime. Et oui, il y a de l'enchantement chez Homère, chez Verlaine ou chez Schiller. Ultime? Ah non! ça c'est l'utopie qui fait vivre. (Et conquérir d'autres livres.)