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De Racine à... Robert Falony, plait-il? Douze écrits et une stèle mortuaire, menant à rebours de l'hitlérisme managérial contemporain aux débris de mai 68. Il y a continuité? Oui-da, tovaritch!
Apropå vänster och höger, nationalism och globalism, och det kommande riksdagsvalet
1994, c'est l'année de publication moyenne des onze livres lus en juin. Il n'y a pas lieu d'en être fier. Trop récent, trop récent. Une bonne pratique de lecture est d'alterner les siècles, histoire de ne pas être obnubilé par l'air du temps. Mais bon, il y a ici une invite à reprendre langue avec Shakespeare, et les années vingt de Zweig, et Montaigne, Kleist, Dante, Nerval. Et c'est sans compter avec l'intemporel Handke...
Il y a des jours comme ça, moroses, grisâtres, et qui en plus s'étirent sur des semaines. Peu de bons livres en mai, beaucoup de bides, même ce bon vieux Lukács... Mais ce sera compensé: Rilke, Jünger, Heidegger, la joyeuse horde teutonne se voyant rejoindre par Cassin, Badiou et Simenon. Ensoleillement!
Le rapport entre James Dean et Humphrey Bogart? Entre Jean Seberg et Laura Marx? Y sont morts, ils et elles
Question à brûle-pourpoint: à quoi ressemblerait la cité du futur, sous forme d'utopie concrète? Réponse en cinq secondes chrono: La Havane, à Cuba, cela ne fait pas un pli! Mais là, il faut bien le dire, j'ai raté une bonne occasion de mettre les points sur les "i".
Forget the talk of the town and the never ending suspicions of Russian meddling in the US elections. Why Trump? Because Clinton, period
La trompette du jugement dernier? Lançant un ultimatum? Jusqu'à preuve du contraire, c'est le meilleur titre d'ouvrage toutes catégories de tous les temps. Pour le reste, de Gramsci à Aragon en passant par Olga, Bruno, Francine et ce bon vieux Karl, le choix aura été comme à l'ordinaire éclectique
Småstäder ger ofta en god inblick i kapitalets utslagningsprocess. Olönsamma. Så småningom tömda på all ekonomisk relevans, utom kanske som sovstäder eller turistiska Disneyland. Exemplet här ligger i Frankrike. Men det kunde ha varit var som helst
Les tambours de la guerre, à l'époque des drones et du bruitage Facebook & Cie, ont changé de "matériel". La "mobilisation générale" n'exige plus d'appeler les masses sous les drapeaux. Mais, conditionner les esprits, diaboliser l'ennemi à abattre demeure une nécessité. L'avalanche de critiques contre la Russie tient un peu du train qui en cache un autre: l'Otan qui se cherche une capacité de première frappe gagnante. On y sera indifférent à ses risques et périls.