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The big Why. Le grand Pourquoi? Frâgan heter Varför? Why have come to this, neoliberalism? Varför denna intellektuella hjärndöd? Pourquoi en sommes-nous là, la Grande Régression?
L’époque est au “petit récit”. Chacun y va de sa thèse, chacun peut faire son “shopping” d’idées – ah! novatrices! savantes! Transformer le monde avec “ça”: peine perdue, et c’est voulu. Exemple du jour: Chantal Mouffe
Vi lever, sägs det, i en övergångstid. Frågan är bara vilken. Ulf Eriksson har en egen uppfattning om det. Det har han skrivit en bok om på uppåt 440 sidor. Det begravda berget heter den. Science-faction, som det ibland omskrives. Verkligheten som var och vet överträffar all fantasi när den tillåts fantisera lite...
Le voile? Dans l'URSS de 1928? À l'époque, rapport à l'obscurantisme, on optait pour la méthode “astucieuse”. L'angle d'attaque, évidemment, était différent. Le pays était socialiste. Ou communiste, l'un ou l'autre. Les carnets de voyage du Tintin espagnol au pays des soviets, Manuel Chaves Nogales, restent près d'un siècle plus tard surprenants. À plus d'un titre (...)
History will always remain unfinished business. Hitler, for instance. How come that lunatic managed to seize power and, more to the point, got almost all Germans to approve and go to war? In 2014, Martin Amis side-stepped the question by quoting Primo Levi: unexplainable, folks. It doesn't stand to reason.
In his book "Le Virus Libéral" published in 2005 (by Le Temps des Cerises), Samir Amin gives an interesting insight into the transformations the working classes have undergone. (It's on page 42 to 46). Presently, he notes, half the world's population live in cities (3 billion people), whereas the other half is made up of peasants.