Le train sénatorial du bouquinage estival renoue avec Debray, Sophocle, Tristan et Iseut. Rien ne presse. Le livre a l'éternité devant lui.
1. Émile Zola (1840-1902), La confession de Claude, 1865, in Œuvres complète, vl 21, éd. Faquelle, non daté sans doute 1980, préface d'Henri Guillemin,194 pages, impression Edito-Service (Genève). Reçu en prêt d'un ami fervent admirateur de Balzac et Zola, dont il a tout et tout lu. Dans sa brève biographie de Zola, dont question dans une antérieure chronique, le préfacier Guillemin avait mis l'eau à la bouche: quoi! le chaste et foncièrement monogame Zola avait, tout jeune, frayé avec une travailleuse du sexe, et tenté de la sauver de sa désolante condition. C'est ce que conte cette œuvre de jeunesse (à peine 25 ans, il avait) qui, sous couvert de romance, mène à terme la triste histoire, car il ne la sauvera pas, ni dans la vie réelle, ni dans l'autre, le duplicata irréel de la fiction. On est loin, très loin du grand Zola. Les clichés pompiers s'enchaînent avec un bruit de cage d'escalier envahi par des déménageurs ivres, l'enfièvrement exalté du narrateur ne suscite au mieux qu'un apitoiement maternel et les préjugés d'époque ont allure de train de marchandises fatigué - telle cette idée prêtant à sourire que si l'honneur de la famille bourgeoise ne bridait pas tant les rejetons de sexe féminin, les jeunes gens ne se verraient pas contraints d'aller au bordel chercher "l'impure compagnie" des "filles perdues". Sans doute, ici et là, Zola parle d'expérience. Par exemple, ce portrait-robot de ces "filles, femmes avant l'âge, [qui] gardent longtemps l'insouciance et la puérilité de l'enfant. Elles sont blasées, et jouerais encore volontiers à la poupée" À lire à titre de curiosité.
2. Georges Didi-Huberman (né en 1953), Pour quoi obéir?, 2022, éd. Bayard, 79 pages, 12,95 euros, impression, euh... en Bosnie-Herzegovine (pas cher, gageons-le). Bienvenue petite chose. Il est difficile en effet d'imaginer un temps où, comme aujourd'hui, l'obéissance aveugle est devenue comme une seconde nature chez la plupart. L'auteur, qui s'attarde un peu trop au schéma bateau de l'obéissance en régimes "autoritaires", cite à un endroit Brecht qui notait dans son journal en 1942 que "le fascisme est un système de gouvernement capable d'asservir un peuple". En 1942, il pensait évidemment au nazisme. Mais, pris à la lettre, l'énoncé nous informe noir sur blanc qu'on vit effectivement en plein fascisme. "Société de contrôle" glose à un autre endroit l'auteur qui aurait gagné à une familiarité avec le philosophe Adorno et son concept de "société suradministrée": voyez les parcours fléchés des rondelles, pistes cyclables, couloirs piétons qui robotisent les déplacements humains, voyez les diktats et interdits encadrant l'agencement des habitations, voyez la hiérarchisation normative des poubelles ménagères, voyez les formulaires, la paperasse administrative qui valent passeport de citoyenneté... Et le plus dingue, c'est qu'on obéit. À toute heure, presque. Et le plus souvent sans y penser. Sans se demander ni pourquoi, ni pour quoi. Formons l'espoir que ce petit livre joue le rôle du grain de sable qui grippe.
3. Isabelle Stengers (née en 1949), Résister au désastre, 2019, éd. Wildproject,, 86 pages, 8 euros, impression Sepec Numérique. Cette brève plaidoirie dialoguée sous la forme question-réponse de la philosophe Isabelle Stengers trouve ses marques dans la mouvance protéiforme de l'altermondialisme (elle fut en 1989 candidate sur une liste "rouge-vert" aux élections régionales bruxelloises), bagage dont on connaît les défauts et vertus. Au passif, ainsi, l'influence prépondérante d'idéologies américano-anglo-saxonnes et un idéalisme humaniste gommant les clivages de classe. À l'actif, un travail critique sur la notion de "progrès" et l'environnement sémantique venant formater les esprits. Ce n'est pas rien. La réflexion s'en trouve stimulée. Et c'est déjà ça.
4. Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal, 1861-1868, poche Gallimard coll. Poésies rééd. 2021, 344 pages, 6,50 euros, impression Novoprint (Espagne, pas cher). Qui n'a pas, à l'âge boutonneux, avec des yeux de chien quémandant susucre et, si la chance est au rendez-vous et l'objet trouvé scellé sous papier translucide sur les quais de la Seine, bref, qui n'a pas eu ses années "poète maudit" et les illusions d'un mimétisme romantique qui va avec? S'agissant de poèteux de stature comme Baudelaire, il est cependant avantageux de relire à d'autres phases, plus sobres, de la vie. Par exemple, alors, jouir des juxtapositions belliqueuses, cette "fangeuse grandeur", ce "charme d'un néant follement attifé" ou ce "morbide attrait". Comment encore ne pas succomber à cette ode à "la Débauche et la Mort", présentés comme "deux aimables filles"? Ou, envoi suprême, la strophe insurpassable: "Ô Mort, vieux capitaine, il est temps! levons l'ancre!" On arrête là, à chacune et chacun de cueillir ses propres cerises.
5. Régis Debray (né en 1940), Où de vivants piliers, 2023, Gallimard, 187 pages, 18 euros, impression Normandie Roto (Lonrai). Ce qui étonne chez ce intello parisien archétypal, c'est que de livre en livre et maintenant à plus de quatre-vingt ans, il se livre si peu. Des idées, oui, en pétarades genre orgues de Staline, des formules ciselées aussi qui, à force, ont goût d'épate avec effet de saturation garantie, mais sur lui-même, c'est zéro virgule zéro. Ah mais! quand même, si! Au détour d'un aparté sur l'idée de famille, il célèbre sa grand-mère paternelle, une Liégeoise née en 1880 et épousant un Debray tenant dentellerie à Calais avant de sombrer dans l'alcoolisme, mémé à laquelle il doit, dit-il, d'avoir appris à jouer au bridge. Ce que sachant, on est prêt à pardonner le petit Régis de bien de choses. Y compris ce bouquin qui tricote ses marottes bien connues, dont son peu d'estime pour les "neuneus humanistes", joli quolibet qu'on range aussitôt dans le répertoire des locutions qui peuvent servir. Histoire de rendre un peu compte, tout de même, de son propos, il s'agit ici, décliné alphabétiquement, des gens de plumes qui ont compté pour lui. Cela va d'Aragon à Yourcenar en passant, notamment, par Céline, Giono, Gracq, Morand et Sartre. Même si les portraits qu'il en fait parlent plus de lui-même (ses Idées) que des auteurs célébrés, ici et là, cela donne l'envie d'aller voir par soi-même. Morand, par exemple. donné comme "antisémite et misogyne, pleutre et collabo, carriériste et cupide". À l'inverse, on sera peu tenté par Saint-John Perse, "roublard, lécheur, lâcheur". Morale? Il n'y en a pas. Debray, cette fois, ne laissera pas indifférent, ce qui déjà lui vaut un huit sur dix.
6. Paul Morand (1888-1976), Journal inutile 1968-1972, Gallimard, 2001, 856 pages, 2 euros (bouquinerie), impression Bussière Camedan (Saint-Amand). Une brique, ça - extraite d'une des piles en attente de lecture, ce grâce au Debray précité. Morand, pour mémoire, est un anti-femme (en citant Milton, elle est "a fair defect of nature"), anti-pédé, anti-bébé ("ces petits morceaux de viande"), anti-démocratie (c'est pour "les petites natures"), anti-juif (mais, là, cela n'a rien de personnel), pétainiste et - en plein mai 68 - admiratifs devant les étudiants révoltés ("derniers poètes de l'action"), bref, pas un bonhomme comme il faut, c'est déjà un bon point. Et puis, styliste, maestro de la formule scintillante, par exemple: l'histoire, "une tempête pétrifiée", et des boutades de sphinx: "Que de temps perdu à gagner du temps!" ou "Le silence, ce luxe rare à notre époque". Impossible de résumer ces annotations quotidiennes, évidemment, retranscription de 32 cahiers sur près de 900 pages, 1968-1972, de sa 80ème année à la 84ème (il meurt à 88, en 1976). Il se réjouit de bien baiser à 80 ans, et encore à 84. Ses fréquentations mondaines (Proust, Chaplin, Cocteau, Joffre - "un imbécile") agrémentent les pages, de même que ses souvenirs (sur Monnet, entre autres, un "conspirateur ténébreux"), tantôt anciens, en tant que diplomate, et tantôt récents, par son élection à l'Académie française. Ce n'est pas le genre à s'en laisser conter. Sur le capitalisme, par exemple, qui "ne pouvait fonctionner qu'en sous-payant la main-d'œuvre ou en exploitant les colonies", ou sa définition du bourgeois, "un ancien serf qui a su épargné et acheter sa liberté". Et puis, parfois, franchement drôle: "J'ouvre mon journal: tout est ridicule: Pompidou (nom ridicule) rencontre le roi des Belges (peuple ridicule) sur une autoroute de 42 km (distance ridicule)." Morand a vu un monde s'écrouler pilonné par un autre, pour lequel il n'a que dégoût et mépris. Avec l'âge, ce sentiment est assez fréquent. Les vaincus ont toujours tort.
(L'étape suivante s'impose d'elle-même: lire sa prose. Une virée à la librairie des gens éduqués à Bruxelles, Tropismes évidemment, laisse entrevoir que Morand, c'est un peu avarié: pas un seul titre en rayon. Une brève recherche apprend cependant que, à portée de main, existe en ma bibliothèque l'édition complète de ses nouvelles, à la Pléiade, 1994. Alors, là, hop! sur la pile d'attente, en tête de peloton.)
7. Michel Zink (né en 1945), Tristant et Iseut, 2022, Livre de poche, 2023, 183 pages, 7,75 euros, impression Blackprint (Espagne, pas cher). Zink, est auteur d'une riche production, philologue médiéviste de l'Académie française, et connaît son sujet sur le bout des doigts en plus de savoir en parler avec un rare bonheur. Jusqu'à confesser qu'il est, au jour d'aujourd'hui, un vieillard et que, forcément, cela déteint sur sa lecture de la "romance" Tristan et Iseut, une histoire traduite dans toutes les langues d'Europe en exerçant sa séduction, dixit Zink, par la démonstration de ce que "l'amour a de plus trouble et de troublant." Mais, attention, de filiation celtique, l'histoire se perd dans le brouillard des onze et douzième siècle et si Thomas Mann et Wagner s'en sont inspirés, il n'en subsiste que des fragments d'époque, certes imposants mais néanmoins incomplets, vaste labyrinthe dans les pénombres desquels Zink se meut avec aisance. Par exemple pour épingler sa réception embarrassée au temps du christianisme dominant, notamment chez Chrétien de Troyes (12e siècle), car amour adultérin, baignant sans grands remords dans le péché. Ajouter toutes les ruses du couple maudit pour cacher au roi Marc, époux d'Iseut, leur relation très charnelle. Moment fort lorsque Iseut ayant à prêter serment sur sa fidélité, se fait traverser un gué à califourchon sur un Tristan déguisé en mendiant lépreux: seuls deux hommes ont été entre mes cuisses, dit-elle solennellement, le roi et "le ladre [qui] fu entre les jambes". C'est mentir sans mentir. En poésie irrésistible. Comme l'écrivait Thomas d'Angleterre (12e siècle) en conclusion de sa version (framentaire): "Tumas fine ci sun escrit; / A tuz amanz saluz i dit, / As pensis e as amerus, / As envius, as desirus, / As enveisiez as purvers,/ A tuz ces ki orunt ses vers." (Thomas termine ici son écrit; / à tous les amants il y adresse son salut, / à ceux qui sont tristes, à ceux que l'amour exalte, / aux envieux, à ceux qui brûlent de désir, / aux voluptueux, aux impurs, / à tous ceux qui entendront ces vers.) Enchanteur! l'original comme le modernisé par Zink.
8. Racine (1639-1699), Phèdre, 1677, Livre de poche 1985, 125 pages, 50 centimes (bouquinerie), impression Brodard et Taupin. On connaît l'histoire, c'est A qui aime B qui aime C, avec en A, Phèdre, la quasi-maman de B, Hippolyte, car fils du mari de Phèdre. Le tout corsé par le fait que A se dira séduite par B, le fils de son mari, qui entre évidemment dans un fatal courroux conduisant à la mort du fiston faussement accusé. Tragédie, quoi! L'amusant, c'est mon édition ayant appartenu à un zigue annotant en marge des "Pas trop tôt, gonflé, le mec", des "Très faible" et des "Bla bla" assez irrévérencieux. C'est du Racine, évidemment. Ici et là, de jolis traits: "Avec quelle rigueur, Destin, tu me poursuis! / Je ne sais où je vais, je ne sais où je suis." (Dixit Thésée, le mari cocu.) Si on n'a pas lu, forcé, à l'école, ainsi que dans le cas contraire, ce n'est pas du temps perdu.
9. Jean Anouilh (1910-1987), Antigone, 1944, éd. La Table ronde 1947 (réédité poche), 133 pages, 50 centimes (bouquinerie), impression inconnue. Autre classique, en version modernisée. Le "beau rôle" revient ici à l'infâme Créon qui va mettre à mort la jeune Antigone, fille d'Œdipe, que Créon avait succédé sur le trône de Thèbes. Beau rôle? C'est qu'Anouilh fait de Créon, dans un long dialogue inventé de toute pièce avec Antigone, le chantre blasé de la Realpolitik, sans illusion sur les vrais-faux vertueux, dont le salaud pour lequel Antigone entend se sacrifier. C'est pas mal troussé avec parfois, rarement, de jolis traits, comme lorsque la naïve Antigone, de retour d'une promenade aux aurores, dit à sa nounou: "Le jardin dormait encore. Je l'ai surpris. Je l'ai vu sans qu'il s'en doute. C'est beau un jardin qui ne pense pas encore aux hommes." Ce qui surprend, peut-être, c'est la date de la première, jouée à Paris le 4 février 1944, en pleine guerre et sous Occupation - et que tout l'arrière-plan politique, la lutte de factions fratricides pour le pouvoir à Thèbes, renvoient les guerriers dos à dos, genre les nazis et les alliés, c'est kif. Oufti!
10. Sophocle (495-406 avant notre ère), Antigone, 442 avant notre ère, in Théâtre complet, éd. poche Garnier-Flammarion 1964, trad. Robert Pignarre, pp. 69-101, impression Maison Mame (Tours). Lecture logique pour se rafraîchir la mémoire de l'original. Ça vole nettement plus haut, avec un Créon plus unidimensionnel (la Loi incarnée), un Hippolite (Hémon) plus présent et véhément pour faire cause et corps avec Antigone, sa fiancée, elle-même tragiquement sublime. Et belle langue, évidemment, comme lorsque le Chœur fait entrer en scène "le peuple oiseau, race légère". Une copie ne vaut rarement l'original.
11. Maurice Ciantar (1915-1990), Étrangers dans la ville, 1958, éd. Le Dilettante, 1994, 78 pages, 11 euros, impression Plein Chant (Bassac, Charente). Un bijou. Rarement croisé un bouquin aussi mal écrit. Au second degré, cela en devient surréaliste, envoûtant. Échantillon: "Soudain les horloges du monde m'angoissent de leur précision! Les carillons de la création me hurlent aux oreilles!" Ou encore: "Le soir nous murmura sa fraîcheur." Ou, cet enchaînement sublime: "J'ai la hantise de l'âge moins par peur de la mort que par souci esthétique. En certaines circonstances, cependant, il m'advient de ne point soupirer ma jeunesse." À croire qu'il le fait exprès. Style très proche du phrasé gonzo, en mieux: une ligne est faite de mots, peu importe lesquels. Ce qui n'empêche notre prestidigitateur de balancer des coups francs, tel ce crayonné d'Yves Montand, en récital au moment du récit (fifties): "Ce long garçon, du type «beau mécanicien» sorti de la douche", voire, vitriolé, ce coup d'œil au même récital sur "l'aréopage des bourgeoises marxisantes dont le moindre colifichet, puérilement épinglé au corsage, équivalait au salaire annuel d'un mineur." Ajouter une couverture reproduisant l'original blafard des romans policiers de gare, avec sa blonde pulpeuse largement décolletée, clope campée sur la hanche, l'air de sortir, blasée, d'une nuit passablement merdique. On en redemande.
12. Louis Althusser (1918-1990), Socialisme idéologique et socialisme scientifique - et autres écrits, 1966, éd. posthume PUF 2022, 328 pages, 22 euros, impression Sepec Numérique (Peronnas). Cette reprise, sous forme de manuel didactique, de la pierre blanche théorique posée par Engels en 1880, Socialisme scientifique et socialisme utopique, a vu quelques bris de barrage passer sous les ponts. Manuscrit rédigé en 1966, on en est loin et l'idée même d'organiser aujourd'hui des formations de socialisme scientifique à l'intention des masses laborieuses semble pour le moins, ben oui, utopique. Donc, lecture plutôt réservée aux avant-gardes esseulées. Althusser, méthodique, distingue ici le socialisme féodal (à la grosse louche, celui de l'Église) du socialisme bourgeois, petit-bourgeois (forme moderne: la social-démocratie), prolétarien (néanmoins pris dans les rets de l'idéologie de la classe dominante) et, enfin, c'est l'évidence même, celui scientifique de Marx. Pour qui, rappelons-le, il n'y a qu'une science: l'histoire. Il vaut la peine d'y réfléchir. Car à l'heure des "révolutions" en potagers où cultiver des poireaux altermondialistes ("bio", of course), il n'est pas déplacé de s'interroger sur la différence entre ce qui menace réellement l'honni système capitaliste et ce qui le renforce, soit la plupart des activités de contestation, presque toujours importées des États-Unis. Remarque utile d'Althusser, enfin, soit en passant, que celle invitant à distinguer les notions des concepts (qui ont sens dans un tout cohérent), ceci en un temps où on ne cesse d'agiter ces foutues notions, vagues, creuses et, bien sûr, à la mode.
13. Jean-Philipe de Tonnac (né en? allez savoir), Un été chez Umberto Eco, 2023, Grasset, 186 pages, 18,50 euros, impression CPI Firmin-Didot (Mesnil-sur-l'Estrée). Il y a fort à croire qu'une recension dithyrambique (Le Monde, 2 juin) en aura trompé plus d'un à se procurer ce désolant pensum sur le mode Umberto Eco et moi et moi et moi. Tantôt l'auteur inflige de la brochure touristique, tantôt des états d'âme faits de timidité de collégien sur le seuil du Grand Homme, le sémiologue et romancier encyclopédiste italien (mort en 2016) - très peu présent dans ces pages. Tout cela a goût de fond de tiroir tant on se demande pourquoi l'auteur a attendu 2023 pour causer de faits vieux de près de vingt ans - sinon l'attrait du créneau commercial. Poubelle sans la moindre hésitation!